| Sujet: « La moindre joie ouvre sur un infini. » Sam 19 Oct - 19:25 | |
| Cornelia Frey date de naissance : Cinq mars 1987 âge: 26 ans lieu de naissance : États-Unis nationalité : Allemande depuis combien de temps es-tu en ville ? Depuis un peu moins de trois mois, j'ai vécu à Munich pendant cinq ans avant de m'installer ici. qu'en penses-tu ? J'adore cette ville pour le moment bien que je n'ai pas encore de vrais amis, je sais que cela viendra naturellement. orientation sexuelle : Hétérosexuelle situation sentimentale : Je dois bien avoir un petit ami quelque part... célibataire sinon. métier/étude : Je me suis décidée à me lancer dans les études supérieures, j'aimerai devenir infirmière. situation financière : Je suis riche, enfin ; mes parents le sont. groupe: Jaune !
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| quelle est ta couleur préférée : Le orange flashi ou le jaune tout aussi radioactif, pour moi cela correspond à la joie, la fraicheur et la santé ; quoi de mieux ? quelle est ta saison préférée : L'été ; le soleil, le ciel dégagé, la plage et les tenues légères... j'ai toujours eu un faible pour cette saison. que fais-tu quand tu déprimes : Je fais un masque de beauté ou j'achète un animal de compagnie, mais soyez rassuré ; je ne déprime pas souvent. que fais-tu durant les weekends J'aime sortir, aller à la plage ou au parc pour lire ou encore faire du sport... faire du shopping lorsque je suis seule à part si j'ai une bande de copine qui aime le même genre de vêtements que moi... Enfin, un tas de choses qui dépendent du temps, de la disponibilité de mes amis (si j'en ai haha) et de mes envies. que penses-tu des personnes homosexuelles : En parler me fait presque rire. Que voulez que je dise ? ce sont des êtres humains comme les autres, je n'ai donc pas de réel avis sur eux. quel est ton plus grand rêve : Faire le tour du monde, m'installer en Afrique, être une nomade-écrivaine ou simplement vivre heureuse et avoir beaucoup d'enfants. que ferais-tu si tu avais une baguette magique : Je rétablirai la paix dans le monde ? haha. Non je ne suis pas une miss mais ça m'arrangerai pas mal moi aussi !
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∆ tics, des manies et des habitudes C'est une petite boule d'énergie qui a du mal à rester en place, qui tapote ses cuisses de ses doigts lorsqu'elle est assise, dans l'ennui, et qui se tord les mains lorsqu'on lui demande de patienter, ne pouvant rester tranquille. Joviale par nature, visage constamment souriant, certains arrivent parfois à croire qu'elle n'est pas capable grimacer et elle en plus qu'heureuse, rares sont les fois où Cornelia a envie d'arrêter de sourire. Jeune femme romantique, faussement timide, elle ne peut s'empêcher de se mordre la lèvre inférieure lorsqu'un garçon l'aborde, frémissant intérieurement d'un doux plaisir redimensionnant son ego de manière agréable. Mais ça elle ne souhaite pas le montrer, du moins ; pas au début. Préférant dodeliner la tête et baisser ses yeux pétillants, elle a pris la fâcheuse habitude de faire la petite fille intimidée devant une présence masculine inconnue. Cornelia sait pourtant gommer ses tares, jouer est cependant bien trop exquis à son goût. Elle, elle n'essaye pas de séduire et ne le veut pas, c'est un effort qui n'en vaut pas la peine. Jeune femme à la recherche d'une certaine classe et tenue irréprochable, elle a pris l'habitude de se tenir bien droit et de ne jamais rentrer la tête dans les épaules afin de montrer son assurance à tous. Réelle assurance qui ne la quitte que trop rarement selon certaines personnes. Autre que les petites particularités physique, Cornelia a la manie d'appeler des connaissances lorsqu'elle prend son bain tard le soir et séquestrer pendant des heures au téléphones ses plus chers amis. Un tantinet maniaque, elle aime ranger et re-ranger son chez elle qui se doit d'être parfait. Malgré cela, lorsqu'il ne s'agit pas de son petit nid douillet, le désordre ne lui pose aucun problème ! La jeune femme a aussi, depuis quelques années, pris la drôle d'habitude qu'est s'en aller subitement pendant quelque temps à l'étranger afin de prendre l'air. Elle-même ne semble pas prévoir quoi que ce soit, vivre au jour le jour a toujours été quelque chose d'important pour elle afin que son bonheur ne meurt pas dans une ennuyeuse routine. Enfin, Cornelia a fini par remarquer que ses départs précipités ont finalement détruits sa vie sociale... aujourd'hui, elle commence tout juste à réfléchir avant d'agir. - Citation :
- prénom/pseudo : Célestine pays : Mexique temps de connexion Si j'aime le forum je me connecte tous les jours sans problème ! comment as-tu découvert le forum : Sur un groupe facebook ! avatar pris : Ann-Margret lorsqu'elle était jeune haha. dernier mot : Pas grand-chose, j'avoue m'être inscrite sur un coup de tête, j'ai eu une sorte de coup de coeur pour le forum bien que je n'ai jamais été attirée par ce genre de contexte auparavant. Le design est simple et joli, de bon gout, j'aime beaucoup. Et puis, l'ambiance a l'air pas mal par ici ! [excusez-moi si il y a quelques fautes dans l'histoire, je n'ai pas vraiment eu le temps de me relire ^^]
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[b]Ann-Margret[/b] ✘ Cornelia Frey ∆ écris l'histoire... ... Mon histoire ? je dois avouer ne pas y penser souvent, voyez-vous ; j'aime vivre dans l'instant. Enfin, je peux essayer de raconter tout cela mais ne pas être brève sera un réel défi. Je suis née il y a un peu plus de vint-six ans maintenant aux États-Unis. Fille d'une mère allemande et d'un père suédois, j'avoue avoir été fière de mes origines pendant toute ma petite enfance. D'ailleurs, on me demandait souvent comment est-ce que j'avais fait pour atterrir en Amérique. Mon père y a vécu pratiquement toute sa vie et y est un grand chef d'entreprise, ma mère, elle, avait décidé d'y passer une année sabbatique. J'ai tout oublié de leur rencontre mais ils ont fini par se marier, fait étonnant vu leur caractère totalement différent. J'ai grandit à New York, dans un quartier bourgeois que j'adorais à l'époque. Mon enfance n'a pas eu grand chose de spécial, j'étais une petite fille sociable et joviale, en réalité je n'ai pas beaucoup changé. Enfin, à cette époque j'étais plus travailleuse et timide qu'aujourd'hui, ma mère a d'ailleurs été drôlement déçue de ma paresse survenue aux alentours de mes dix-sept ans. Jusque là j'avais été une enfant modèle, pensant plus autres qu'à soi-même. Mais j'ai très vite senti l'ennui m'envahir de sa terrible présence, la monotonie de ma vie m'était insupportable. Je suis alors devenue une véritable rêveuse, dans les nuages ; je ne pensais qu'aux choses que je voudrais faire, oubliant tout de l'univers déjà bien installé autour de moi. J'ai alors fais comprendre à mes parents que je ne souhaitais pas aller à l'université, que je voulais voyager ; découvrir le monde et ses richesses. L'enchantement de mon père pour mon envie subite de partir n'avait d'égal que l'incompréhension et la déception de ma mère qui avait toujours rêvé de me voir avec un joli diplôme universitaire en poche. Mais... sans vouloir jouer les martyrs, je dois dire que j'avais déjà, à cet âge là, l'habitude de ne pas être soutenue du côté maternel. Je ne lui en voulais pas vraiment non plus, j'étais son seul enfant alors je comprenais, qu'elle voulait que je sois spéciale. Ce que je ne saisissais pas, ce qu'elle n'arrive pas à me voir spéciale malgré le fait que je sois sa fille. Enfin, l'enthousiasme de mon père pour mes projets a finalement un peu plus pesé dans la balance que la déception de ma mère. J'ai donc pu m'envoler pour l'Europe à dix-huit ans, choisissant la France comme première destination. Mes parents m'avaient laissée partir avec énormément d'argent, assez pour ne pas m'inquiéter pendant plusieurs années. Je me suis louée un petit appartement à Paris sans me soucier du prix exorbitant du loyer et je me suis rapidement mise en quête d'amusement. Un amusement totalement puéril, celui d'une fille à peine en train de sortir de l'adolescence, qui n'avait aucun sens des responsabilités et du devoir. J'ai donc dans un premier temps apparemment tenter de dilapider l'argent de mes parents dans des choses futiles, comme des fêtes, une voiture de luxe et d'autres choses dont je n'ose pas vraiment parler aujourd'hui. Mon père s'est très vite rendu compte que j'avais perdu de vue mon envie de "découvrir le monde et ses richesses" et m'a coupé les vivres, purement et simplement. Je dois dire qu'à ce moment là je me suis sentie bien embêtée. J'ai rapidement perdu tous mes "amis" qui ne voulaient qu'une part de mon argent et je me suis rendue compte de ma nullité en français. Que pouvais-je donc faire dans cette ville sans argent pour me protéger et pour avancer ? J'étais morte de honte et je n'osais pas faire appel à mes parents. J'ai donc attendu de me faire expulser de mon appartement pour essayer de chercher du travail. Peine perdue pour quelqu'un comme moi qui ne parlait pas un mot correct de français ! J'ai tout de même réussi à me faire engager pour quelques jobs blessants mon ego mais je n'étais jamais rappelée alors j'ai fini de laisser tomber. Je vivais alors dans un hôtel pas cher sur le bord d'une autoroute mais je savais que je n'aurais bientôt plus d'argent pour réussir à payer ma chambre. L'idée de devenir mannequin m'a alors prise, et au dépourvu qui plus est. Mais, n'était-ce pas évidant ? on m'avait toujours dit que j'étais jolie... J'ai réussit à passer un casting mais on m'a fait comprendre que je n'étais ni assez mince, ni assez grande. J'ai donc laissé tomber une fois de plus. Je ne voyais pas vraiment quoi faire, je n'avais pas vraiment le temps d'apprendre la langue. Les gens ne vous disent pas ; "très bien vous pouvez ne pas payer votre chambre jusqu'à ce que vous ayez appris la langue du pays". Le pire c'est que je pense que c'est ce que je croyais autrefois. Paris qu'on m'avait toujours décris comme une ville fantastique est donc devenu mon enfers. J'ai revue une fille que j'avais connu lors d'une soirée organisée par cette dernière et lui ai expliqué ma situation. J'avais espéré qu'elle me prenne en pitié ou quelque chose dans le genre et m'aide mais elle m'a simplement rit au nez. ‹‹ Qu'est-ce que tu veux qu'je fasse ? C'est pas mon problème. Fais la pute si tu as besoin de fric ! ›› ses paroles et son ricanement m'avait blessée plus qu'aucune autre chose autrefois car le pire était que... j'y avais déjà pensé. En rentrant à l'hôtel je me souviens avoir pleuré toutes les larmes de mon corps, de honte, de tristesse, de colère et de déception envers moi-même. C'était un terrible mélange qui me pourrissait de l'intérieur. Je me suis alors décidée à dépenser tout ce qui me restait d'argent en un appel téléphonique avec mes parents, je ne pouvais plus essayer de me débrouiller toute seule, je ne souhaitais pas faire tout et n'importe quoi pour gagner ma vie. Je leur ai alors expliquer ma situation et leur ai demandé pardon comme jamais je ne l'avais fait auparavant. La voix pleine d'un contentement presque sadique de mon père m'avait alors mortifiée, il acceptait mes excuses et me renverrait de l'argent, il me disait même que je pouvais vivre dans notre résidence secondaire à Munich. Je savais que je n'avais pas à faire d'histoire, que j'étais certainement une des personnes les plus chanceuses de monde. Je me suis donc envolée pour Munich, ville que je connaissais déjà assez bien et que j'aimais énormément. La résidence secondaire de la famille était assez petite mais bien placée. Je ne pouvais pas me plaindre, les choses revenaient enfin dans l'ordre. Je parlais parfaitement allemand et j'ai pu rapidement me trouver un petit boulot de serveuse. Je me servais de l'argent de mon père uniquement pour boucler mes fins de mois et j'ai donc réussit à lentement devenir une adulte à peu près responsable. J'ai eu une belle vie à Munich, j'y ai vécu cinq ans, cinq belles années. Je m'étais fait pas mal d'amis, j'y ai même eu plusieurs copains dont un avec qui j'ai vécu pendant plus d'un an. Enfin, tout a changé à la mort de mes parents. Décédés dans un accident d'avion alors qu'ils venaient me voir pour Noël je me suis retrouvée seule au monde pendant un instant. Ils étaient ma seule famille, on peut dire qu'ils laissaient un grand vide derrière eux. C'est après quelques mois pendant lesquels je me suis totalement renfermée sur moi-même que je me suis rendue compte que j'avais hérité de tout ce qu'ils possédaient. J'ai alors vendu toutes les résidences de la famille et me suis installée à Berlin, à la recherche d'une vie meilleure. J'avais envie de tourner la page sur tout ce que j'avais vécu avant. Je me suis acheté un petit appartement en ayant dans l'idée de ne pas faire n'importe quoi avec l'argent cette fois-ci et j'ai commencé des études supérieures. Je m'étais dis en arrivant à Berlin "Cette fois-ci, je veux bien faire les choses". J'ai dans l'idée de rester ici, pour toujours peut-être. Je souhaite devenir infirmière, avoir un travail qui me satisfait et me construire une vie que les autres envieront. Enfin, j'essaye de voir au delà du temps présent, même si je sais que c'est peine perdue. Mais j'ai aujourd'hui, au contraire d'autrefois, de véritables priorités.
Dernière édition par Cornelia Frey le Sam 19 Oct - 23:56, édité 2 fois |
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Masha Brainard
✘ DATE D'ARRIVÉE : 14/10/2013 ✘ MOTS DÉBITÉS : 99 ✘ NOM DE LA STAR : zippora seven ✘ ÂGE : 23 ans ✘ I LOVE YOU : célibataire ✘ ORIENTATION : hétéro ✘ EUROS : 32 ✘ EMPLOI : serveuse ✘ HUMEUR : légèrement déprimée | Sujet: Re: « La moindre joie ouvre sur un infini. » Sam 19 Oct - 19:29 | |
| Bienvenue parmi nous et j'ai hâte de lire ta fiche Je ne connais pas cette demoiselle, mais elle est drôlement jolie |
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| Sujet: Re: « La moindre joie ouvre sur un infini. » Sam 19 Oct - 20:01 | |
| Choix d'avatar original !! J'aime beaucoup !!
Bon courage pour ta fichounette et n'hésite pas à nous harceler au besoin ! |
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| Sujet: Re: « La moindre joie ouvre sur un infini. » Sam 19 Oct - 20:10 | |
| Bienvenue sur le forum miss Bonne chance pour ta fiche! |
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| Sujet: Re: « La moindre joie ouvre sur un infini. » Sam 19 Oct - 20:19 | |
| Bienvenue sur StepbyStep Merci de ton inscription et bonne continuation pour ta fiche ..
Bizouille Nau' |
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Nicholas Carter
✘ DATE D'ARRIVÉE : 14/10/2013 ✘ MOTS DÉBITÉS : 74 ✘ NOM DE LA STAR : Dylan O'Brien ✘ EUROS : 23 ✘ EMPLOI : Il devrait être lycéen mais il n'a jamais connu un lycée ✘ TU ES IMPORTANT(E) :
| Sujet: Re: « La moindre joie ouvre sur un infini. » Sam 19 Oct - 20:22 | |
| Bienvenue |
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| Sujet: Re: « La moindre joie ouvre sur un infini. » Sam 19 Oct - 23:59 | |
| Merci à vous tous pour cet accueil chaleureux ! Eh bien voilà, j'ai terminé ma fiche. ^^ C'est peut-être un peu écrit à la va-vite, excusez-moi d'avance pour ça. hahaha Si il y a de quelconques changements à faire ou des parties à corriger, n'hésitez pas à me le dire. |
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| Sujet: Re: « La moindre joie ouvre sur un infini. » Dim 20 Oct - 1:15 | |
| Pour une présentation faite à la "va vite" je la trouve très bien moi! Tu es validé Amuse toi bien parmi nous |
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| Sujet: Re: « La moindre joie ouvre sur un infini. » Dim 20 Oct - 2:03 | |
| Merci beaucoup ! Eh bien, je l'ai écrit très rapidement et je ne me suis pas relue alors voili voilou hahaha. Encore merci |
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| Sujet: Re: « La moindre joie ouvre sur un infini. » | |
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